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Jean IMHOFF • du 31 octobre au 16 novembre 2025
Jean IMHOFF, peintre « Je peins pour tenter d’apporter une réponse à une question que je ne connais pas. Cette réponse apparait lors d’un mouvement décisif dans un champ d’incertitudes, ce sont des formes qui ne représentent rien de défini mais qui me séduisent et entreront en résonance avec le regardeur de manière aléatoire.Chaque tableau s’avère n’être qu’une réponse partielle et provisoire, non définitive, ce qui rend inlassable l’acte de peindre. » www.jean-imhoff.com/ Visite libre samedi et dimanche de 15h à 19h, et les autres jours sur RDV auprès de Brigitte • 06 70 24 05 90Vernissage vendredi 31 octobre de 17h à 22h

Cédric ROUZÉ & Bernard RENOULT • du 13 septembre au 5 octobre 2025
Cédric Rouzé, sculpteur Depuis dix ans, Cédric Rouzé sculpte, assemble, taille : chocs sans retour et caresses infimes. Beaucoup d’éclats, de poussière…quelques tendinites, aussi…La sculpture, la pierre. C’est elle qui rend la vie possible : un lieu de condensation, de rassemblement. Parfois joie intense… sans cesse désir ultime, sans cause et sans objet…Une oeuvre se constitue…Constituer une oeuvre, ce n’est pas accumuler des oeuvres. Sculpter, pour Cédric Rouzé, c’est ne rien connaître de ce qui est en gésine, de ce qui va paraître : des phrases de pierre faites de mots sculptés.Vous qui prendrez le temps de sentir entre les formes, de lire entre les lignes… Vous serez peut-être touché : des énigmes, fulgurances furtives, tissent ces oeuvres entre elles, et aussi..… des questions du fond de l’humain résonnent ici : www.cedrouz.fr Bernard RENOULT, peintre Bernard Renoult (1955-2024) vivait et travaillait ces dernières années à Mâcon. Présentation du travail de Bernard Renoult vu par Lou Weber, sa femme :Bernard, fils de diplomate a voyagé entre le Pakistan et l’Algérie. Jeune adulte, il a fréquenté, malgré des études scientifiques, les Beaux-Arts d’Alger puis il revient en France pour suivre les enseignements du cours Raveau à Paris avant d’intégrer les Beaux-Arts de Besançon.Il crée une librairie à Rouen puis se consacre à l’enseignement des Arts plastiques et de technologie, surtout avec des élèves en difficulté. A cette occasion Il rencontre GAROUSTE et TADASHI KAWAMATA.Après une terrible maladie, en 2018, il redécouvre la peinture, se reconnait dans les grands maîtres du XXème siècle, DALI, DUBUFFET, ALECHINSKI, HANTAI et tant d’autres.Son art, il le relie à la peinture informelle. Travaillant d’abord en noir et blanc, il propose l’exposition « Neige Noire ». Puis il varie les formats, jusqu’à de grandes réalisations. Il travaille LES papiers (Craft, journaux, de soie et toutes chutes possibles). Il tend les supports à la verticale sur des planches et aime observer le travail du séchage, ruptures, déchirures, lézardes, etc… Il colle, découpe, forme à l’aide de ses mains ou d’outils divers. Il aime le hasard de la couleur qui coule, se mélange, s’applique, s’épaissit, se croûte. Il prépare méticuleusement son travail, en écrivant de nombreuses notes. Il aime laisser libre court à l’œuvre qui se forme sous ses yeux et qui reflète son esprit, son âme. Quelques citations de Bernard Renoult :« Mon ambition est d’organiser des relations simultanées ou établir des relations picturales inattendues entre la forme des couleurs et les couleurs elles-mêmes jusqu’à créer un point de rupture lumineux ou d’équilibre indéfinissable aux yeux mais préempteur pour la perception cérébrale.Tenter le geste qui provoquera ou pas ou non l’accident sur le papier tendu à la limite de la rupture physique. Cette vivante fraction temporelle du mouvement insuffisant ou intempestif menant à l’instant de l’irrémédiable rupture.Le papier torturé s’échappe au travers d’une suite indécise aléatoire d’ondulations vivantes entres elles et par elles pour une mortelle arrivée en fin de limite du papier.Vibration tonitruante de l’encre sur l’acrylique asservie par son rôle de guide jusqu’à l’épuisement des forces en progression de plus en plus lente avant son extinction.La tache qui roule suffisante à elle-même.Mon choix pictural induit un geste ample et rapide dans son expression précise et délicate menant à une réalisation aléatoire maîtrisée. Il faut toujours travailler avec une grande économie de moyens. Le geste ne détermine pas la forme, tout comme peut l’exécuter la couleur, elle existe par elle-même. » Visite libre samedi et dimanche de 15h à 19h, et les autres jours sur RDV auprès de Brigitte • 06 70 24 05 90Vernissage samedi 13 septembre de 15h à 22h

Perrine BLAISE & Anouk ALBERTINI • du 13 juin au 6 juillet 2025
Perrine Blaise, plasticienne. “Par mes assemblages-bas-reliefs, qu’ils soient de bois ou de papier, je cherche à exprimer une émotion avec des moyens simples. Longtemps j’ai peint en extérieur, noyée dans les paysages, puis j’ai souhaité travailler dans la solitude de l’atelier. Il s’agissait de retrouver la quiétude et la contemplation d’une pratique quasi méditative. Souhaitant réunir les différentes inspirations qui m’importent, tout en renouvelant totalement ma pratique, j’explore par le langage de l’abstraction, les possibilités de construire un ensemble cohérent, sans limiter le champ de l’expérimentation. Changer de support était également nécessaire, le choix du bois s’est imposé par sa simplicité d’utilisation et pour ce qu’il apporte de texture et de relief, et j’accueille volontiers les accidents de ce matériau singulier. Une composition nait toujours d’un souvenir visuel ou sensoriel, d’une atmosphère couleur enregistrée en mémoire. Certains rapports de couleurs sont profondément ancrés dans mes souvenirs, et chaque nouvelle atmosphère, urbaine ou bucolique, réelle ou rêvée, s’imprime à son tour et mature jusqu’à éclore dans de nouvelles associations. Eaux, végétaux, minéraux, éléments, atmosphères, tout est enregistré mentalement. Souvent les formes et proportions sont influencées par les couleurs, mais pas toujours. Parfois, il me semble que peu importe la forme, pourvu que la couleur parle, puis à la fin, tout s’harmonise, ce qui n’exclue pas les ruptures, les rencontres imprévisibles. Sans ébauche préalable, je compose sans logique autre que l’équilibre et le dialogue qui naît des contrastes entre forme, couleur et relief. Parallèlement au travail sur bois, le désir de retrouver le papier s’est frayé un chemin, trouvant avec l’embossage rehaussé de couleur la même jubilation de composer sans limites. L’échange silencieux entre le relief blanc du papier et les formes-couleur-textures procède d’une tout autre mise en œuvre, et propose une lecture plus légère que le bois.Transparence et opacité, blancheur et teinture du papier, rehaut d’aquarelle ou encres, autant d’éléments avec lesquels je joue et cherche une illusion de transparence ou de légèreté bien qu’utilisant des formes sculptées.La couleur, source d’émotion est à l’origine de ma démarche, j’aimerais que chaque regardeur se l’approprie et voyage à son tour dans son propre imaginaire.” https://www.instagram.com/perrine.blaise/?hl=fr Anouk ALBERTINI, sculptrice Née en 1961 à Nice, Anouk Albertini vit à Paris et travaille dans son atelier aux Lilas. Sculptrice française, elle puise son inspiration dans la nature et les souvenirs d’enfance passés entre montagnes abruptes et rochers polis par la mer Corse. Ces paysages nourrissent sa quête d’harmonie, traduite par des lignes épurées, des textures organiques et des patines subtiles. Formée auprès du sculpteur Maurizio Toffoletti dès 1997, elle explore pendant sept ans le travail de la matière avant de s’installer dans son propre atelier en 2004. Influencée par son père architecte, elle développe un langage sculptural singulier où l’équilibre et la verticalité s’allient dans un dialogue constant entre lumière et ombre. Elle aborde la matière comme un langage, où chaque forme dialogue en équilibre avec son double, son absence ou son essence. Ses sculptures, souvent verticales, se présentent comme des fragments d’un paysage intime, dévoilant des tensions subtiles entre équilibre et rupture. Formes et contreformes se répondent dans une dynamique silencieuse, où l’ombre et la lumière jouent comme des respirations entre le plein et le vide. Ses œuvres, marquées par une esthétique minimaliste, intègrent le vide et les espaces intermédiaires comme éléments essentiels. Conçues comme des compositions, des couples ou encore des ensemblesépurés, ses sculptures traduisent une recherche d’équilibre et un dialogue silencieux entre les formes, la matière et son environnement. www.anoukalbertini.fr Visite libre samedi et dimanche de 15h à 19h, et les autres jours sur RDV auprès de Brigitte • 06 70 24 05 90Vernissage vendredi 13 juin de 17h à 22h

Isabelle FESQUET • Jeudi 22 mai 2025
Une mémoire sous le sable, la Retirada. Inspirés de témoignages, ces récits de réfugiés espagnols en France tentent de faire resurgir la mémoire enfouie sous le sable… Isabelle Fesquet : récitÉmile Sanchis : chant, guitare En 2017, Isabelle découvre « les camps de concentration de Saint-Cyprien », de février 1939.Après une enquête auprès d’espagnols, tous descendants d’exilés de la Retirada, elle réalise un récit où on suit Octavio, Maria et Teresa. Tous nous donnent une belle leçon d’humanité et de courage qui résonne encore aujourd’hui.Accompagnant le texte de façon simultanée ou alternée, Émile, fils exilé lui-même, chante, joue de la guitare et mêle à la narration la voix de la poésie hispanique. Durée : 1h10 – Tout public à partir de 14 ans http://melimelomanilemo.fr/2024/02/29/une-memoire-sous-le-sable-la-retirada/ Réactions de spectateur,rice.s :

Bea BERG, dessins & Vincent GONTIER, sculptures • du 12 avril au 4 mai 2025
Bea BERG, dessins « Le silence et le calme nous jouent une mélodie orchestrée par la nature. C’est à nous de l’écouter et d’apercevoir leur beauté et magie. Nous sommes invités à plonger dans un dialogue intérieur et de nous concentrer sur l’essentiel. Les petites choses, presque oubliées, sont révélées et gagnent en importance. – Un moment de balance, de contemplation et de joie. »Une fascination pour des compositions simples et épurées, des formes sobres et des espaces lumineux, influencée par ma carrière d’architecte, se reflète dans mon travail. Etant tombée sous le charme de la photographie et de l’art minimaliste, je cherche à concentrer l’image à son expression essentielle. Elle permet d’évoquer des émotions, qui sont à la fois fondamentales et universelles.Partant de mes prises de vue, je les travaille avec des différentes techniques (la peinture acrylique, les feuilles d’or, le fil de coton, le papier texturé, la gravure de bois,…) pour faire découvrir un jeu subtil d’ombre et de lumière. https://www.bea-line.de Vincent GONTIER, sculptures Le journal est mon matériau.Tout ce qui fait sens devient signe.«Quotidien bloqué entre des mâchoires d’acier, pages de signes dans des étaux obscurs» (P. Péju).Quotidiens dépliés organisés en dallage, pirogues effilées chargées de littérature.Quotidiens brûlés à la loupe les jours de soleil.Qu’il s’agisse d’un environnement où les synapses de papier jouent avec l’espace et le corps, d’uneinstallation de pirogues en acier, sur des journaux ou dans un parc, de sculptures ou de dessins, leregard oscille entre fragilités et résistances.Alors que la morsure du soleil imprime des pages en suivant les traits d’une actualité chargée desecousses, que des assemblages de papiers et d’aciers se chargent de présence énigmatique, quedes accumulations de « croquis-sculptures » projettent des paysages urbains, je poursuis un cheminpar les travers du quotidien.Vincent Gontie http://www.sculpture-presse.fr/ Visite libre samedi et dimanche de 15h à 19h, et les autres jours sur RDV auprès de Brigitte • 06 70 24 05 90Vernissage samedi 12 avril de 15h à 22h

Emmanuel TEITGEN & Anne MANGEOT• du 5 au 25 octobre 2024
Emmanuel Teitgen, peintre “Horizons Solitude, silence, spontanéité… Mes oeuvres sont le fruit d’un moment calme mélé d’urgence, d’un instant particulier où tout peut arriver très rapidement. Un mélange de conscient et d’inconscient, de peur et de d’euphorie. Ces peintures correspondent à un acte réflexe, sincère, une respiration qui mènent irrémédiablement à des étendues, des espaces, des horizons. La majorité de ces oeuvres utilisent des pigments à l’eau, et/ou, de la térébenthine, du gesso, du goudron sur toile, carton, bois, papier. Mais, peu importe les supports, et tous les moyens matériels mis en œuvre pourvu qu’il y ait l’ivresse…” Emmanuel Teitgen Emmanuel Teitgen vit et travaille dans la région lyonnaise https://eteitgenartworks.myportfolio.com/ Anne Mangeot, sculptures A l’aide de matériaux simples, volontairement rudimentaires, peu académiques, Anne Mangeot enserre le vide d’un volume, le souligne.L’équilibre, l’harmonie s’y installe lorsque le résultat du geste, de la construction atteint le naturel, l’évident.Ce sentiment d’évidence devient alors le sujet de la rencontre avec le public, l’objet de la contemplation. Valère Bertrand Anne Mangeot vit et travaille à Lyon. Le parcours artistique d’Anne Mangeot est animé d’une sensibilité certaine, ainsi que d’une curiosité naturelle. Cette dernière l’incite à aborder des connaissances aussi bien dans le domaine des savoirs humains, de la Nature, ou de l’histoire de l’humanité. Ces recherches se traduisent par une trace, par des graphismes, prenant la forme d’œuvres en deux ou trois dimensions, dont la poésie n’est pas absente. Ses œuvres sont tout à la fois sobres et travaillées, traduisant sa propre expérience sensitive en harmonie avec l’espace. Celui-ci est un élément important dans ses sculptures : il en fait partie. Le volume graphique devient le centre de cet espace. Le regard s’y arrête ou le traverse. Ces sculptures sont créées à l’aide de branches, qui sont autant de traits définissant un volume, en un processus rigoureux et abstrait, que ce soit en atelier, in situ, ou en milieu naturel. Chaque trait, chaque courbe, est une branche utilisée dans sa forme naturelle, cette ligne devant s’intégrer dans la composition imaginée. Les liens sont en ficelle cirée ou en fil métallique. Le procédé de l’impression la fascine. L’esprit dans lequel elle pratique l’estampe rejoint celle de ses volumes ; ses différents domaines d’intérêt sont abordés en utilisant des techniques variées, souvent non conventionnelles. Les œuvres d’Anne Mangeot, abstraites pour la plupart, sont des propositions, et non des certitudes. Elles sollicitent notre esprit, où l’imaginaire de chacun-chacune pourra se développer en une réflexion, en une rêverie, une émotion… http://anne.mangeot.free.fr/ Visite libre samedi et dimanche de 15h à 19h, et les autres jours sur RDV auprès de Brigitte • 06 70 24 05 90vernissage samedi 5 octobre de 16h à 22h